
Nicolas Robert, né le 28 Mars 1996, psychologue depuis septembre 2021 et romancier depuis 2025.
Nicolas Robert – dans cet ordre, il y tient – parle de lui avec la même aisance qu’un Prévert dresserait un inventaire concis. Psychologue de 29 ans et écrivain compulsif, il voit chaque année naître des dizaines d’idées, dont au moins une devient un roman.
Les doutes, pourtant, ne manquent pas. Ces périodes où il remet tout en question, sans même qu’une critique extérieure n’intervienne, sont nombreuses. Mais ces crises créatives deviennent souvent le terreau fertile de ses histoires. Les Insomniaques est le récit qui l’a obsédé pendant deux ans, avant de naître en trois semaines, comme venu de lui-même au monde.
C’est par cette première pierre surréaliste qu’il choisit d’inaugurer son parcours d’écrivain. Quant à savoir où cela le mènera… Nicolas a déjà ses petites idées.
Mais d’ailleurs, comme dit plus haut, Nicolas Robert est assez peu capable de parler de lui-même. D’autres savent bien mieux que lui décrire son écriture et ses univers :
Description par une (très) proche :
« C’est à dix-mille lieues de notre monde que se déroulent les œuvres de Nicolas Robert. Pourtant, on ne pourrait s’empêcher d’y voir comme une réfraction parabolique de ce dernier. Ses univers, n’obéissant en aucun cas aux lois physiques telles que nous les connaissons. Ils sont empreints d’une multitude d’esthétiques et de thématiques cosmogoniques et mythologiques emboîtés à la manière de poupées russes dont on peine à atteindre le noyau.
Il y mêle de vives images archétypales à des univers lugubres inspirés de sa passion pour les scènes organiques de Beksinski. Organicité qui, par ailleurs, y tient une place centrale ; celle, notamment, de la maternité, qui au-delà de l’empreinte esthétique, vient secouer ses univers en exacerbant leur dimension cosmogonique.
Celle, également, de la viscéralité, qui nous offre à contempler des mondes écorchés vifs. Ses œuvres sont une constante oscillation entre science-fiction et science-fantasy car, toujours, y plane un doute profondément métaphysique sur les origines du monde.
Sa chère et tendre »