Foire Aux Questions pour Nicolas Robert

Photo de Nicolas Robert, auteur du projet Les Interstices

Nicolas Robert, né le 28 Mars 1996, psychologue depuis septembre 2021 et romancier depuis 2025.

Sur les ouvrages de Nicolas Robert :

  1. Où puis-je acheter vos livres ?

    Pour l’instant, mes livres ne seront en vente en format E-Book sur les plateformes principales de vente, Kobo et Kindle.
  2. Vos livres sont-ils disponibles en format papier et numérique (ebook) ?

    Le format papier est un objectif important. Je travaille à le proposer dès que possible. Je prends le temps nécessaire à trouver un partenaire qui réalise des ouvrages de qualité. Si c’est pour avoir un objet physique, il faut qu’il en vaille la peine et pour moi, et pour vous !
  3. Proposez-vous des versions audio de vos livres ?

    La version audio est une perspective intéressante. Pour l’instant, je me concentre sur la publication écrite, mais je suis ouvert à cette possibilité si l’opportunité se présente.
  4. Puis-je acheter un livre dédicacé directement auprès de vous ?

    Je serai ravi de vous dédicacer un livre lors de futurs salons ou événements ! Comme ça, vous pourrez apprécier ma signature plus que maladroite !
  5. Vos livres sont-ils disponibles dans d’autres langues ?

    « We’re in France, we speak French » comme dirait l’un de nos plus précieux sportif ! Plus sérieusement, la langue française est ma langue maternelle et pour l’instant je n’envisage pas de traduire. Mais si l’occasion se présente, je n’y manquerai pas, notamment dans les langues latines et évidemment, l’anglais.
  6. Quel est votre public cible ?

    Le spectre est large. Je pourrais résumer par les amateurs de littérature de l’imaginaire, mais ça risque de faire court et d’assez mal préciser les choses. Je suis un amateur de nombreux genres, du plus large en parlant de science-fiction et de fantastique, au plus spécifique avec le Grim Dark ou le Bio-punk. J’ai aussi la particularité d’avoir des envies qui me guident vers d’autres genres, l’horreur psychologique, le réalisme magique, le surréalisme. Avec toutes ces palettes possibles, j’envisage toujours mal de rester dans un seul genre, et je m’y sentirai de toute façon à l’étroit. Donc mon public cible, c’est une constellation de niches. Ils seront ciblés et sauront qu’ils le sont, en fonction des ouvrages. Mais le liant, c’est cette littérature de l’imaginaire connectée par des symboles, des thèmes et des images poétiques.
  7. Où puisez-vous votre inspiration ?

    Vaste question ! Je suis un enfant de l’image et pas vraiment de l’écrit. J’ai énormément joué aux jeux vidéo au cours de ma vie, quelques-unes de mes inspirations :

    – Les jeux de Fumito Ueda (The Last Guardian et Shadow of the Colossus).
    – La série Halo.
    – La série Fable.
    Star Wars Knights of the Old Republic II : The Sith Lords.
    Planescape Torment.
    – La série Fallout (et notamment le très cher à mon coeur New Vegas).
    – J’ai aussi une myriade de jeux indépendants qui me sont chers, Sable, Scorn, Dusk

    … ça commence plus à ressembler à une liste de mes jeux préférés plutôt que mes influences ! Pour élargir un peu le spectre, j’ai été beaucoup marqué par l’univers de Warhammer 40K. J’ai aussi des références cinématographiques, Star Wars, Blade Runner, Stalker de Tarkovski, Dune (celui de 84), Eraserhead, Ghost in the Shell

    … et pour devenir un peu plus cohérent, du côté de la littérature, j’ai été marqué par Confession d’un Masque de Yukio Mishima. C’est un livre qui m’a été conseillé par mon plus cher ami. Je ne peux pas ne pas citer Lorenzaccio d’Alfred de Musset. C’est une pièce de théâtre (je tiens à la qualifier ainsi, pour le pied de nez !) qui m’a beaucoup influencé. On retrouve son influence dans des écrits désormais derrière moi (mais qui pourrait un jour revenir, qui sait ?). Dans mes jeunes années, un certain Stan Nicchols m’a beaucoup plu avec sa série de Fantaisie Noire : Orcs. Du côté de la littérature de l’imaginaire, j’ai beaucoup aimé le travail de Drew Karpyshin sur des univers comme Star Wars ou Mass Effect. Cela fait un peu le lien entre mes passions pour le jeu vidéo, le cinéma et l’écriture.

    Enfin, pour être exhaustif, je ne « compose » jamais de livres sans écouter de musiques. De ce côté là, j’aime les musiques sur laquelle mon imaginaire peut se projeter. Les musiques d’ambiance et notamment les pistes pour les films ou jeux vidéo s’y prêtent bien. J’use et abuse des bandes sons de Keiichi Okabe sur Nier et Nier Automata pour me faire rêver. Le travail de Gareth Coker sur les jeux Ori et Darksiders Genesis m’aide beaucoup aussi. J’ai une certaine appétence pour tout ce que font Carpenter Brut et Perturbator quand je me sens d’une humeur plus énergique.
    Mais ne le cachons pas, je suis un très grand fan de Mylène Farmer et vous finirez par vous en rendre compte ! Et si un jour je pouvais travailler avec elle et Archive pour une adaptation au cinéma, je serai un homme comblé, et mes enfants avec !
  8. Dans quel ordre dois-je lire vos séries ?

    Même si les Interstices sont un « univers » qui partage des thèmes et des archétypes, sauf cas spécifique, il n’y a pas d’ordre pour lire les livres. Je les aie tous pensés comme étant des histoires indépendantes dont les symboles s’enrichissent d’une connaissance des autres livres, rarement plus. Lorsque ça sera le cas, je le signalerai par une numérotation, pas d’inquiétudes !
  9. Quand le prochain livre va-t-il sortir ?

    Je compte sortir les Insomniaques le plus tôt possible, avec un objectif en tête pour décembre. Quant à la suite, ne vous inquiétez pas ! Je ne démarre pas les « mains vides » et il est certain qu’au moins un autre livre sera publié en 2026. Faites moi confiance, mon travail dans l’ombre m’a permis d’avoir du stock. Mais je respecterai chaque livre, et aucun ne sortira trop vite ou de façon trop précipité, j’ai trop de respect pour eux, pour moi, et pour mes lecteurs pour ne pas bien faire les choses.
  10. Y a-t-il des contenus bonus disponibles ?

    Il y aura des textes publiés sur le site des Interstices, mais aussi une nouvelle offerte avec l’inscription à la Newsletter. Aussi, attendez-vous à ce que les livres viennent avec des bonus à la précommande. C’est une manière de respecter l’investissement des lecteurs qui s’intéressent particulièrement à ce que je fais. Je me sentirai coupable de ne pas les récompenser !
  11. Question bête : pourquoi vous écrivez ?

    Ce n’est pas une question bête du tout ! Je n’ai pas su pendant longtemps pourquoi ça arrivait parce que le processus d’écriture n’est jamais rien que la réalisation d’un autre processus beaucoup plus intime. Ma compagne – qui ne fait pourtant pas mon métier de psychologue – m’a évoqué l’idée que je puisse être atteint d’un trouble de la rêverie compulsive.

    Il est vrai que chaque instant de ma vie, ou du moins, l’essentiel du temps où je me sens capable de fonctionner en double ou triple tâche : je pense à des univers, des personnages, des histoires, des paysages, et je compose dans le silence de mes pensées.


    Pendant longtemps, j’ai fait ça sans réaliser sérieusement d’écrits pour matérialiser tout ça. J’écrivais avant 2022, j’ai même écrit des livres avant 2022, probablement mon premier à l’âge de quatorze ans en 2010. Mais il a fallu attendre 2022 pour que je m’investisse pleinement dans l’écriture.

    Et je n’arrête jamais de composer. C’est littéralement impossible et impensable pour moi de passer une journée sans réfléchir à l’écriture. Que ça soit une scène, un dialogue, si ce n’est un univers. Parfois c’est l’approfondissement de quelque chose de déjà existant. D’autre, c’est parfaitement inédit, même si toujours inspiré de quelque chose. Par exemple, en ce moment, je me trouve une fascination pour la texture et l’apparence micro des mousses et les différences de variation des couleurs de la moisissure. Avec ça, je compose des environnements aliens dans ma tête. Cela à tendance à se rapprocher du style visuel d’un René Laloux (réalisateur de la Planète Sauvage) parce que mon moment créatif actuel se porte plus du côté surréaliste qu’autre chose. C’est un exemple pour essayer de résumer quelque chose de très simple : je ne sais pas faire sans imaginer des histoires et des univers. Je suis à la fois piégé et libéré par ma créativité. Piégé dans les quatre murs de ma tête, et libéré par les possibilités que ça m’offre. Toutes les épiphanies que je connais, sont des plaisirs rares dans ma vie de tous les jours.

    Cela a des désavantages significatifs aussi, parce que cette réalité intérieure me rend parfois un peu… déconnecté de ce qu’il se passe autour de ma vraie personne. La distinction entre vie réelle et vie fantasmatique est claire chez moi, mais les interractions entre les deux sont très concrètes. C’est difficile d’habiter constamment ma vie de tous les jours avec la même intensité que ma vie créative. Alors j’ai des moments où je suis tout l’un – je m’en vais marcher avec mon casque, j’écoute de la musique, et je compose – ou alors à un moment où je m’ennuie particulièrement (au hasard dans un bar en compagnie de gens qui ne m’inspirent pas beaucoup) je me met à gérer en pilote automatique la conversation, et me laisser composer psychiquement à côté.

    On pourrait croire que c’est épuisant, et d’un point de vue ça l’est. Mais les périodes où j’essaye de me reposer et de ne pas écrire ou composer, sont une souffrance terrible, sans compensation possible. Et quand je réduis cette voilure, c’est comme si je réduisais la voilure de tout le reste, du sport à la sociabilisation en passant par les jeux vidéos et même mon travail de psychologue… j’ai presque une souffrance psychique à ne pas écrire et ne pas composer.

    Donc je pense que j’écris parce que… j’en ai besoin.

    Et ça va durer. Ma mission, c’est ne pas devenir un disque rayé. Pour ça, il faut que je continue à rester souple et créatif, rester vivant et laisser derrière moi certaines idées et obsessions. Même s’il y a des idées auxquelles je tiens, il faut les dépasser, les renouveler. Parce que le mouvement de la vie, c’est l’après avec tout ce que ça sous entend de deuil.

    Ça aussi c’était une longue réponse !
  12. Comment vous écrivez ?

    Compliquée cette question ! Je dirais que c’est un processus semi-automatique. Je pense tellement à mes livres, les scènes majeures, la structure de l’histoire, que je joue mentalement les scènes. Parfois, je vis vraiment le dialogue, je me plonge dans l’intensité émotionnelle du personnage et ça me procure des sensations physiques. C’est un processus très vivant, très habité, et lorsque j’écris, j’essaye de retranscrire cet aspect. J’y arrive de mieux en mieux, j’affine, récemment, je me suis rendu compte qu’être plus concis aidait. Être un peu plus avare en mot, mais plus chirurgical dans le choix de ces derniers, ça change beaucoup l’impact de l’écrit.

    J’écris comme je pense, enfin, j’essaye. Parce que les pensées ne sont ni des phrases, ni des mots, nous ne faisons que traduire les signaux électriques qui traversent nos synapses. Et traduire, c’est trahir. Et une fois les meilleurs mots posés, il faut faire confiance à l’imaginaire… le votre en l’occurrence !


L’auto édition : pourquoi ?

  1. Pourquoi avez-vous choisi l’auto-édition ?

    Plusieurs raisons : je pense que fondamentalement il y a une question d’époque. Je suis né avec internet et nous avons désormais des outils qui nous permettent d’exister et communiquer sans dépendre de réseaux existants.
    En outre, c’est une question de confiance. En mon travail et de liberté créative : je veux être derrière chaque choix, et en porter la responsabilité.

    C’est aussi une affaire de proximité : je respecte les maisons d’édition et le travail de mise en avant qu’elles font, mais je veux aussi travailler un rapport de proximité avec mon lectorat. L’auto-édition est encore le meilleur moyen d’entretenir cette relation.
    Pour finir, j’aime l’idée de démarrer petit, et de construire tout ça à la sueur de mes doigts et au jus de mon cerveau. Question d’égo aussi, probablement. J’aime l’idée de faire ça par moi-même. Mais je n’hésiterai pas à aller chercher aide et conseil si j’atteins mes limites.
    Bref, c’est sans doute pour que l’aventure d’écrivain soit plus « complète ».
  2. Qu’est-ce que l’auto-édition, exactement ?

    Beaucoup de travail ! C’est partir du principe que l’écriture et la création sont une moitié du chemin, et que l’autre touche à la correction, la communication, et l’organisation du modèle économique et de distribution. C’est beaucoup de responsabilités, beaucoup de temps, et beaucoup d’apprentissages. C’est un savoir précieux à acquérir qui est utile dans tous les aspects de votre vie, et ça compte beaucoup.
  3. Quels sont les avantages de l’auto-édition selon vous ?

    La liberté. J’ai toujours voulu écrire en étant libre. En étant mon propre censeur, à pouvoir me permettre tout ce que j’envisage et assumer une vision propre. Il y a plus de contrôle, plus de flexibilité et de rapidité dans la publication, et des pourcentages de droits plus élevés. Mais il y a malgré tout des contraintes, on dépend toujours de plateformes, de distributeurs. Elles sont différentes d’une édition classique, mais déplacées sur d’autres aspects.
    Comme je donne beaucoup de valeur à ma liberté créative et qu’elle a le dessus, le choix était évident pour moi.
  4. Quels sont les défis ?

    La correction, par exemple, est un défi exigeant. Pour le relever, je m’entoure de relecteurs compétents et j’utilise tous les outils à ma disposition pour garantir un texte de la plus grande qualité possible. La mise en page fait aussi parti des défis. J’ai tendance à trop m’investir dans l’écriture et moins dans ce que mon cerveau considère comme de « l’à côté » alors que ça n’en est pas. Tous ces aspects, de la correction au marketing en passant par l’illustration et la mise en page subliment l’écriture. Je dirais que tout ce qui ne touche pas à la réalisation de mes idées d’écriture relève d’une certaine forme de difficulté. Mais c’est pour ça que c’est important, parce que c’est dur !
  5. Nicolas Robert pour le référencement ça ne doit pas aider, vous n’avez pas penser à un alias ?

    J’ai découvert ce sujet sur le tard ! Je travaille cet aspect continuellement, Les Interstices est une solution naturelle à ce problème, c’est un nom plus spécifique. Mais c’est mon prénom et mon nom de famille, j’y tiens, et je pense que je pourrais y arriver sans devoir m’appeler… mettons : Adam Catena !
  6. C’est très spécifique comme nom et prénom ça…

    Vous vous faites des idées… en tout cas, c’est plus spécifique que Nicolas Robert, c’est sûr !
  7. On retrouve souvent le même type de contenu sur internet, c’est à cause du référencement ?

    Tout à fait. Pour illustrer la chose, Internet, ou plutôt les internet si on considère chaque environnement comme unique, se sont immensifiés. Nous faisons face à des espaces de plus en plus vaste et concurrentiel. Pour lutter contre ce phénomène, les algorythmes de référencement ont voulu faire du tri dans les sites. Aujourd’hui, pour être remarqué, il faut plaire aux algorythmes ou toucher une niche très fidèle.

    Pour les curieux et les courageux qui voudront se lancer dans ce périlleux voyage, quand on parle de SEO on parle de ça.

    Mots clés, balises titres, description meta, URL, maillage interne. Le SEO c’est tout ce qui va permettre de rendre votre site spécifique, et tout ce qui va fluidifier son accès et sa sortie. Il faut comprendre que les navigateurs veulent toujours plus de traffic. Plus vous assurerez faire partie de son maillage, plus il appréciera votre contenu. Il faut penser à votre site comme le carrefour de plusieurs fils de soie dans une toile d’araignée.

    Le but pour moi c’est de faire les deux. Le site est là pour concentrer mon travail et proposer une vision d’ensemble à mes livres. Mais les ouvrages sont le coeur battant de l’offre. Jamais mes romans n’auront le moindre mots clés du genre réalisme magique, science-fiction française, littérature fantastique, ou encore surréalisme (on sent le vécu, hein ?). Il faut penser le site comme un entonnoir qui conduit vers les livres qui se situent au goulet d’étranglement. J’aimerais que le système soit différent, mais je ne peux pas lutter contre à mon échelle. Alors j’accompagne le processus de référencement en me pliant à quelques règles. Le but est de faire ça en préservant la ligne capitale de mon projet. Mais oui, les articles et les pages sont influencées par le référencement, mais les livres en resteront immaculés dans leur contenu.
  8. À l’ère de l’IA, ça doit simplifier les choses, non ?

    Pas vraiment. Pour clarifier les choses, j’utilise l’IA pour réaliser des images en placeholder et des textes marketing. Pour le premier cas : parce que je n’ai pas de talent d’illustrateur et j’en cherche un qui aura envie d’épouser mon univers. Pour le second, j’ai du mal à caractériser ce que je fais, les outils comme l’IA sont bons pour ça.

    L’IA est un outil intéressant, mais on touche vite ses limites. Pour l’informationnel, c’est parfait, souvent mieux qu’un navigateur quand ça n’hallucine pas. Cela peut aussi produire des résumés et descriptifs intéressants. Mais pour tout ce qui est artistique et créatif, on rencontre vite une impression que je qualifierai… d’inquiétante étrangeté. On sait que ce n’est pas humain. J’ai tendance à résumer ça comme ça : l’IA peut réaliser un bon produit mais pas quelque chose de beau.

    Il y a dans l’IA quelque chose de l’ordre de l’assemblage, on sent que c’est produit, contrairement à une oeuvre de main d’homme qui est réalisé. L’IA est un outil de production, comme une machine, ça se voit dans ce qu’elle fait qu’il manque un truc. Souvent, c’est une intention intime, quelque chose que l’on qualifie difficilement. Il faut beaucoup de finesse pour définir ce qui fait la différence entre une production IA et l’oeuvre d’un humain, mais j’ai l’impression que l’on apprend de plus en plus à le sentir. On est encore dans la phase d’apprentissage et de découverte, mais collectivement, je pense que cette expérience va nous apprendre encore plus sur ce qui nous définit. La question de la volonté et de l’authenticité de l’émotion derrière une image, ou un texte, va devenir quelque chose d’absolument fondamental à l’avenir. Bien sûr, ça l’était avant, mais ça sera ressenti avec encore plus d’intensité.

    Donc l’IA simplifie certaines tâches, mais je reste conscient de ses limites. Je m’en sers avant tout pour m’informer, mais ici, les seules choses générées, sont les illustrations, qui seront ensuite changées dès que j’aurais trouvé un artiste pour les réaliser, et aussi les descriptions et résumés, sur lesquels je repasse.

    L’IA c’est bon pour la logistique, mais jamais pour écrire ou imaginer quoi que ce soit. Au pire, elle peut aider à trouver des idées, mais même là, elle aseptise tout, ça manque toujours du supplément d’âme ou de folie qu’on attend d’un esprit qui se perd. On a besoin de s’ennuyer et de se perdre dans ses associations pour créer. Les IA sont décidément trop ordonnées pour ça.

    J’espère que ça répond aux interrogations. Je ne suis pas réfractaire à cet outil, mais je ne veux pas qu’il prenne le pas sur l’âme de mon projet. Et ça nécessite que je sépare les usages tolérables et ceux qui ne le sont pas. Vous ne verrez jamais le moindre de mes livres avoir du contenu IA.
    À l’avenir, il n’y aura plus la moindre illustration générée. C’est du faute de mieux, et je serai heureux de m’en libérer d’ici quelques temps !


Soutien et communication :

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    Tout autant, à la même adresse que cité ci-dessus, mais aussi sur mes réseaux sociaux.
  4. Je suis un blogueur/libraire. Puis-je recevoir un service de presse ?

    Bien sûr, contactez-moi à mon adresse : nicolas.robert.auteur@proton.me et nous discuterons des modalités.
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    Tant que ça n’est pas pour un usage commercial, avec grand plaisir ! Je demanderais juste de préciser le nom de l’oeuvre et de l’auteur, avec potentiellement un lien vers le site lesinterstices.fr !


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